Dans la nuit du 3 au 4 décembre 2024, l’hôpital Laquintinie de Douala a été victime d’un acte de sabotage délibéré de ses installations vitales par des individus non-encore identifiés. Ces derniers ont sectionné, à la base, les conduits à oxygène qui alimentent plusieurs services, dont les Urgences Adultes et la Réanimation, deux unités fortement sollicitées pour une alimentation en oxygène et la prise en charge des malades en détresse.
Fort heureusement, la prompte intervention de l’équipe de maintenance de l’hôpital Laquintinie a permis de circonscrire la zone attaquée, et de mettre sur pied des solutions palliatives de continuité du service. Évitant par conséquent, in extremis, une catastrophe à l’hôpital Laquintinie de Douala.
Un acte répété pour la énième fois
Il est important de relever que la formation sanitaire est régulièrement victime d’actes de sabotage de ses installations (destruction de câbles, section de conduits à oxygène, vandalisme des caméras de surveillance etc…), malgré le dispositif de surveillance renforcé (vidéosurveillance, ronde de vigiles, inspections inopinées des superviseurs et responsables entre autres) mis en place par la Direction.
Une enquête a été ouverte suite à cet autre acte criminel. La situation est sous contrôle et le service se poursuit sereinement dans tout l’hôpital, après des mesures circonstancielles prises par la Direction.
CellCom Hôpital Laquintinie
